Essai Renault Scénic 1.3 TCe 140 EDC Zen (2018)

« Le #Renault #Scénic de 4ème génération est né en 2016. Il a débuté sa carrière avec une gamme essence limitée à un 1,2 l TCe 4 cylindres qui se déclinait en 115 ou 130 ch. Depuis début 2018, il y a désormais 3 moteurs essence avec un 1,3 l qui n’est pas une déclinaison du 1,2 l mais un tout nouveau moteur. Ce 1,3 l existe en 3 niveaux de puissance : 115, 140 ou 160 ch. On essaie ici la version 140 ch qui remplace l’ancien 1,2 l de 130 ch avec donc 10 chevaux de plus, mais pas seulement : on va voir ça sur la route ensuite. » Précisons que cette motorisation est disponible avec une boîte manuelle à 6 rapports ou comme ici en boîte double embrayage EDC à 7 rapports. Notre modèle d’essai est en finition intermédiaire Zen.<br /> <br /> A l’intérieur, notre Scénic en finition Zen n’a pas droit au grand écran vertical et doit se contenter d’un écran classique. La présentation est correcte, sans plus, moins chaleureuse et flatteuse que celle d’un C4 SpaceTourer. Le Scénic se rattrape avec pas mal de rangements pratiques comme cette grande boîte à gants/tiroir, des trappes aux pieds des passagers arrière ou un grand vide poche central. L’équipement comprend le freinage automatique d’urgence. A l’arrière, le Scénic n’a pas droit aux sièges individuels coulissants mais à une banquette coulissante et rabattable en 2/3-1/3. L’habitabilité y est moindre que dans un C4 Picasso, surtout quand comme ici on a l’option tablettes aviation qui prennent beaucoup sur l’espace aux genoux. Le coffre en revanche est à peu près équivalent dans les deux monospaces français en volume selon nos mesures. <br /> <br /> Ce 1,3 l turbo de 140 ch affiche donc 10 ch de plus que le 1.2 l de 130 ch, mais le plus marquant vient plutôt de la différence de couple : celui-ci fait 240 Nm de couple alors que le 1.2 l TCE culminait à 205 Nm. Il y a donc quasiment 20 % de couple en plus dans le 1.3 l, et ça se ressent à peu près partout, à bas et moyens régimes : dès qu’on enfonce l’accélérateur, il y a plus de répondant, ça relance plus fort. Bref, c’est plus agréable partout : ça se vérifie au niveau du chronomètre en montant dans les tous, ce qui ne sert pas forcément à grand-chose puisqu’au-delà de 5000 tours de toutes façons, il plafonne un peu. C’est mieux en performances, c’est aussi mieux en agrément, le tout en consommant moins, on va voir ça juste après. Côté châssis, il n’y a rien de changé : ce Scénic offre un bon niveau de confort malgré ses roues de 20 pouces. Il est quand même moins confortable que le C4 Picasso, devenu C4 SpaceTourer, qui lui est vraiment typé confort. Le Scénic garde un côté plus dynamique.<br /> <br /> Comme évoqué précédemment, la consommation est donc en baisse malgré la hausse de performances et d’agrément. Du coup le malus écologique est en baisse et descend à 60 €, plutôt raisonnable. A noter que la version 160 ch engendre le même malus, pas plus. En revanche, les tarifs ont augmenté par rapport au Scénic TCe 130. Le TCe 140 débute à 28300 €, auxquels il faut rajouter 1700 € pour la boite EDC. C’est très proche du C4 SpaceTourer PureTech 130 EAT6 Feel, tandis que la version boîte manuelle est voisine d’une Golf Sportsvan TSI 130 Confortline, le concurrent le plus direct.<i class="fa fa-language transViewIcon clickable" title="Translation"></i>

Essai Renault Scénic 1.3 TCe 140 EDC Zen (2018)
Video date 2018/07/03 01:11
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« Le #Renault #Scénic de 4ème génération est né en 2016. Il a débuté sa carrière avec une gamme essence limitée à un 1,2 l TCe 4 cylindres qui se déclinait en 115 ou 130 ch. Depuis début 2018, il y a désormais 3 moteurs essence avec un 1,3 l qui n’est pas une déclinaison du 1,2 l mais un tout nouveau moteur. Ce 1,3 l existe en 3 niveaux de puissance : 115, 140 ou 160 ch. On essaie ici la version 140 ch qui remplace l’ancien 1,2 l de 130 ch avec donc 10 chevaux de plus, mais pas seulement : on va voir ça sur la route ensuite. » Précisons que cette motorisation est disponible avec une boîte manuelle à 6 rapports ou comme ici en boîte double embrayage EDC à 7 rapports. Notre modèle d’essai est en finition intermédiaire Zen.

A l’intérieur, notre Scénic en finition Zen n’a pas droit au grand écran vertical et doit se contenter d’un écran classique. La présentation est correcte, sans plus, moins chaleureuse et flatteuse que celle d’un C4 SpaceTourer. Le Scénic se rattrape avec pas mal de rangements pratiques comme cette grande boîte à gants/tiroir, des trappes aux pieds des passagers arrière ou un grand vide poche central. L’équipement comprend le freinage automatique d’urgence. A l’arrière, le Scénic n’a pas droit aux sièges individuels coulissants mais à une banquette coulissante et rabattable en 2/3-1/3. L’habitabilité y est moindre que dans un C4 Picasso, surtout quand comme ici on a l’option tablettes aviation qui prennent beaucoup sur l’espace aux genoux. Le coffre en revanche est à peu près équivalent dans les deux monospaces français en volume selon nos mesures.

Ce 1,3 l turbo de 140 ch affiche donc 10 ch de plus que le 1.2 l de 130 ch, mais le plus marquant vient plutôt de la différence de couple : celui-ci fait 240 Nm de couple alors que le 1.2 l TCE culminait à 205 Nm. Il y a donc quasiment 20 % de couple en plus dans le 1.3 l, et ça se ressent à peu près partout, à bas et moyens régimes : dès qu’on enfonce l’accélérateur, il y a plus de répondant, ça relance plus fort. Bref, c’est plus agréable partout : ça se vérifie au niveau du chronomètre en montant dans les tous, ce qui ne sert pas forcément à grand-chose puisqu’au-delà de 5000 tours de toutes façons, il plafonne un peu. C’est mieux en performances, c’est aussi mieux en agrément, le tout en consommant moins, on va voir ça juste après. Côté châssis, il n’y a rien de changé : ce Scénic offre un bon niveau de confort malgré ses roues de 20 pouces. Il est quand même moins confortable que le C4 Picasso, devenu C4 SpaceTourer, qui lui est vraiment typé confort. Le Scénic garde un côté plus dynamique.

Comme évoqué précédemment, la consommation est donc en baisse malgré la hausse de performances et d’agrément. Du coup le malus écologique est en baisse et descend à 60 €, plutôt raisonnable. A noter que la version 160 ch engendre le même malus, pas plus. En revanche, les tarifs ont augmenté par rapport au Scénic TCe 130. Le TCe 140 débute à 28300 €, auxquels il faut rajouter 1700 € pour la boite EDC. C’est très proche du C4 SpaceTourer PureTech 130 EAT6 Feel, tandis que la version boîte manuelle est voisine d’une Golf Sportsvan TSI 130 Confortline, le concurrent le plus direct.
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